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Depuis le 1er juillet 2021 et l’arrêté du 8 octobre 2021, l’ancienne méthodologie du DPE a laissé place à une nouvelle version beaucoup plus fiable, qui s’appuie notamment sur une collecte de données d’entrée hautement justifiées et une méthode de calcul consolidée. Cette transformation a permis au DPE de s’élever au rang de diagnostic opposable comme les autres diagnostics immobiliers.
Grâce à cette évolution marquante du DPE et au nouveau statut de ce diagnostic, les acteurs des transactions disposent désormais d’informations essentielles sur les logements en termes d’énergie, dans un marché de l’immobilier au sein duquel la situation géographique ou le cadre d’un bien ne suffisent plus pour séduire les potentiels acheteurs ou locataires.
En effet, ces derniers recherchent désormais des biens performants énergétiquement et cela dans le but de disposer d’un confort thermique optimal, tout en maîtrisant, voire en limitant considérablement leurs dépenses d’énergie. En plus les pouvoirs publics souhaitent faire disparaître les logements les plus énergivores au plus vite, et plus précisément à compter de 2022, avec l’entrée en vigueur de mesures de plus en plus strictes à l’encontre des logements classés F et G puis E et D.
Parmi les données du DPE qui confirment des besoins trop élevés d’énergie au sein d’un logement figurent la présence au sein du rapport :
Pour faire baisser les consommations d’énergie, le diagnostic de performance énergétique transmet trois types de recommandations : d’usage, d’entretien et de bonne gestion des équipements ainsi que de travaux. Ces dernières se présentent sous la forme d’au minimum un scénario chiffré faisant apparaitre les gains en termes de performance et d’économie d’énergie.
Les préconisations de travaux ont pour premier objectif de sortir les passoires énergétiques de ce statut qui non seulement engendre des surcoûts et la dépréciation du bien lors d’une vente mais aussi d’autres préjudices importants effectifs ou à venir, parmi lesquels un encadrement des revenus locatifs, l’obligation avant-vente de faire un audit énergétique réglementaire, une interdiction de louer, etc.
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